Accompagnement musical : Adélaïde Legras, harpiste

Adélaïde Legras se voit décerner en 2012 un Diplôme d’Études Musicales au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Bobigny dans la classe d’Aurélie Saraf. Elle avait précédemment travaillé avec Joanna Kozielska, Helga Storck, Marielle Nordmann et Isabelle Perrin. Parallèlement à son parcours instrumental, elle obtient un master recherches en musique et musicologie à l’Université de Paris IV grâce à un mémoire sur la musique médiévale, puis un Diplôme Universitaire « Éthique, esthétique et dignité humaine » à l’Université de Paris V.Sa volonté de partager son amour de la musique la pousse à aller à la rencontre de divers publics : elle a ainsi joué le Concerto pour flûte et harpe de Mozart au Centre Pénitentiaire de Meaux-Chauconin et proposé un programme de chant et harpe médiévale à l’hôpital pour enfants de Margency. Elle se produit régulièrement en concert, notamment en récital ou en trio avec la flûtiste Aude Guégan et le violoniste et altiste Thierry Honko et propose avec la contrebassiste Delphine Debeuf des contes musicaux.

Passionnée par la pédagogie, elle est titulaire du Diplôme d’État de professeur de musique et d’une Licence en Sciences de l’éducation. Elle enseigne actuellement dans plusieurs conservatoires du Val d’Oise et accompagne des étudiants en formation au Cefedem (centre de formation des enseignants de la danse et de la musique) de Normandie.

Adélaïde accompagne régulièrement l’ensemble « Para L’Elles » depuis 2016.

Adélaïde Legras – Sonate en do mineur – Sophia Dussek (1775 – 1831). Concert Para L’Elles du 8 mars 2020 dédié aux « Compositrices du XVIe au XXIe siècle », en la chapelle Sainte-Thérèse de Montmagny (95).
Adélaïde Legras – Baroque Flamenco – Deborah Henson-Conant (1953 – ). Concert Para L’Elles du 8 mars 2020 dédié aux « Compositrices du XVIe au XXIe siècle », en la chapelle Sainte-Thérèse de Montmagny (95).
Concert de harpe au temple d’Enghien-les-Bains (17/01/2021). Programme : Alphonse Hasselmans, Conte de Noël, op. 33 (1895) ; Jacques Ibert, Scherzetto (1917) ; Camille Saint-Saëns, Fantaisie, op. 95 (1893) ; Marcel Tournier, Pastels du vieux Japon, op. 47 : Le koto chante pour l’absent et Le danseur au sabre (1948) ; Anna François, Caprice pour la harpe, op. 24 (1898) ; Marguerite Achard, Légende corse, op. 16 (1906) ; Gabriel Pierné, Impromptu-Caprice, op. 9 ter (1887) ; Armande de Polignac, Nocturne (1912) ; Bernard Andrès, Duke (1987).